À PROPOS
A propos de HUB (prononcer "ioub")
Je suis un artiste peintre autodidacte, né à Clermont-Ferrand en 1973, d’une maman aquarelliste et peintre dès l’âge de la retraite venue.
Dès l’adolescence, je développe une véritable passion pour la « culture rock » et aussi un grand attrait pour l’art du XXème siècle par de nombreuses visites de musées et d’expositions. Celle consacrée à Jean Michel Basquiat au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris en 2010 me sert de détonateur pour enrichir mes connaissances dans l’art Néo-expressionisme, le Pop’art, Le Street-art, l’Art Brut et Singulier…
Parallèlement à une activité professionnelle de meunier, je participe plusieurs années à l’atelier de peinture à l’huile proposé par le peintre Philippe Brihat au centre socio-culturel Anatole France de Clermont-Fd, afin d’acquérir différentes techniques de bases.
Pendant la période de COVID et de confinement, j’éprouve le besoin de redécouvrir une partie de ma discothèque et d’exprimer mon ressenti en peinture. Mon appartement se transforme en atelier et les créations s’enchainent.
Je m’inspire de la musique pour me libérer l’esprit, ainsi, mes tableaux évoquent : l’énergie du Rock’n’roll ; la créativité du Rock 70’s ; le classicisme du Jazz ; la spontanéité du Free-jazz ; la nostalgie et l’expressivité du Blues ; la douceur de la Soul ; la jovialité du Funk ; la brutalité du Punk ; la popularité et l’engagement de la chanson française et du Rap ; la diversité et la richesse de couleur de la world musique…
Les valeurs humaines étant au cœur de mes aspirations et de mes valeurs, les portraits plus ou moins réalistes forment une majorité de mon œuvre. J’aime marier les couleurs, les techniques (huiles au pinceau et couteau, acrylique, bombes…) sur des surfaces variées (papier, carton, toiles, bois…) pour exprimer la colère, la joie, l’angoisse, les cris, le sarcasme, les slogans, la naïveté, l’amour et l’espoir de l’incessant mouvement de notre époque…mais comme le disait Bernard Buffet, l’un de mes artiste influent : « La peinture, on n’en parle pas, on ne l’analyse pas, on la sent ».